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Athlétisme : début prometteur

Cette discipline qui jadis faisait la gloire du sport national durant les Jeux Olympiques। Les Marocains auront intérêt à se rattraper en tentant de remporter leurs premières médailles। Ainsi, vendredi, la Marocaine Hasna Benhassi a ouvert le bal en se qualifiant pour les demi-finales de l’épreuve du 800 m। Benhassi, actuelle vice-championne du monde, est entrée deuxième dans la cinquième série avec un chrono de 2 min 00।51. Cette série a été remportée par la Cubaine Zulia Calatayud (2:00.34), alors que la troisième place est revenue à la Russe Ekaterina Kostetskaya (2:00.54).« Il s’agit d’un premier pas vers la finale. Je me concentrerai maintenant sur la prochaine course pour atteindre mon objectif », a-t-elle déclaré à l’agence MAP. Et de souligner : « La course était très disputée, mais je l’ai négociée avec une tactique spéciale et je suis arrivée à ma fin ». Les demi-finales auront lieu samedi, alors que la finale est programmée pour lundi prochain.Sur l’épreuve du 1500 m messieurs, Abdelati Iguider et Mohamed Moustaoui ont déroché leur ticket pour les demi-finales.
Abdalati Iguider a été le premier à se qualifier en terminant en quatrième place de la troisième série. Iguider a réalisé un chrono de 3 min 36.48. Cette série a été remportée par le Sud-africain Juan Van Deventer (3:36.32) suivi de l’Espagnol Arturo Casado (3:36.42) et du Britannique Andy Baddeley (3:36.47). Mohamed Moustaoui s’est, pour sa part, classé deuxième de la quatrième série assurant ainsi avec brio sa qualification pour le prochain tour.Au terme d’une course rapide, Moustaoui a enregistré un chrono 3 min 34.80 derrière le Bahreïni d’origine marocaine, Rachid Ramzi (3:32.89). La troisième place est revenue au Kenyan Kiprono Choge Augustine (3:35.47). Un autre Marocain était en lice dans cette épreuve. Il s’agissait de Youssef Baba qui n’a malheureusement pas pu franchir ce premier cap de la compétition.
A l’issue de la première série de l’épreuve 1500 m, Baba s’est contenté de la dixième place (3:42.13). C’est le Français Mehdi Baâla qui a remporté cette série en réalisant un chrono de 3 min 35.87. Il a été suivi de New-Zélandais Nicholas Willis (3:36.01) et du Qatari Naim Bashir Daham (3:36.05). A Pékin, deux générations d’athlètes marocains défendent la réputation de l’athlétisme national. L’équipe nationale est composée d’une part d’athlètes habitués aux Olympiades ayant côtoyé les anciennes gloires (Brahim Boulami, Hicham El Guerrouj, Nezha Bidouane, etc.).
Il s’agit de Hasna Benhassi, vice-championne olympique en 2004 à Athènes, Jawad Gharib, double champion du monde au marathon, Asmaâ Laghzaoui et Amine Laâlou. D’autre part, il y a de jeunes éléments pleins de talent et qui en sont à leur première participation comme Meriem Alaoui Selsouli ou Ibtissam Lakhwad. Cette équipe qui représente le Maroc aux Jeux de Pékin comporte des athlètes prometteurs et expérimentés. Il s’agit, notamment, de Benhassi, Gharib, Meryem Alaoui Salsouli (5.000m), Amine Laalou (800 m), Abderrahim Goumri, Abderrahim Bouremdane (troisième au marathon de Huston). Sans oublier Abdelati Iguider, auteur du troisième MPM de l’année sur le 1.500m.——————————————————————
Le Nid d’Oiseau «plein»Le « Nid d’Oiseau » a quasiment fait le plein pour les premières séries d’athlétisme des Jeux Olympiques de Pékin vendredi matin। Seules quelques centaines de sièges étaient vides dans les rangs supérieurs et dans la partie inférieure la plus exposée au soleil brûlant.La capacité d’accueil du stade est de 91.000 places. Les deux premières finales (poids messieurs, 10.000 m dames) ont eu lieu vendredi soir.L’ambiance a été chaude pour les séries du 100 m. «C’est vrai qu’il y avait du brouhaha, car il y avait un Chinois dans ma série. Le public était donc à fond derrière son athlète. Il fallait calmer un peu le truc », a raconté le Français Ronald Pognon, qui s’est relevé comme son voisin américain Darvis Patton, car il avait du mal à entendre le starter.

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Cours d'HTML

Tout au long de vos heures de surf, vous avez visiter un très grand nombre de sites, des sites splendides, utiles, attrayants, ...mais aussi des sites un peu moins bien... Vous vous sentez peut être l'âme d'un créateur, si vous voulez commencer à créer un site, ce cours est pour vous. Tout au long des pages de ce cours, vous apprendrez à créer des pages de plus en plus sophistiquées. Ce cous n'est pas exhaustif. Vous ne saurez pas tout sur le HTML, mais vous connaîtrez toutes les bases qui vous permettrons de pouvoir continuer et par la suite vous auto-former. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à venir les poser sur le forum ! N'ayez pas peur de poser une question qui vous semble "bête", nous sommes tous passez par là un jour !
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Voici la liste des chapitres que nous aborderons dans ce tutorial :
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la biographie de Friedrich NIETZSCHE



NIETZSCHE
1844 - 1900

Artiste, écrivain et Philosophe (Allemand)Né le 15 octobre 1844Décédé le 25 août 1900 (à l'âge de 55 ans)
Plus que pour tout autre philosophe une biographie de Nietzsche s'impose. Dans Par delà le bien et le mal, il écrit : " J'ai peu à peu découvert ce que toute grande philosophie a été jusqu'à ce jour : la confession de son auteur et une sorte de Mémoires involontaires et insus. Chez le philosophe, il n'y a absolument rien d'impersonnel et sa morale notamment témoigne de façon nette et décisive qui il est ". Ce ne sont bien entendu pas les évènements en eux-mêmes qui intéressent Nietzsche mais l'événement en tant qu'il exprime une attitude théorique et pratique. Il n'y a pas pour Nietzsche de philosophie, il n'y a que des philosophes dont la vie cependant n'intéresse le penser philosophique que dans la mesure où elle acquiert signification universelle, dans la mesure où la vie de l'individu a valeur pour la communauté. Du reste, l'œuvre de Nietzsche est inséparable de l'histoire occidentale et il faut s'en souvenir pour le comprendre. C'est dans cet esprit qu'il nous faut donc brièvement rappeler les éléments de sa biographie.Nietzsche est né à Röchen, près de Leipzig en 1844. Il serait un descendant de l'aristocratie polonaise par son père. Sa mère était allemande. Nietzsche se réclame de l'aristocratie (par le sang il se sent hors des limites nationalistes) mais en même temps il s'en méfie : " Le sang est le plus mauvais témoin de la vérité " écrira-t-il dans Ainsi parlait Zarathoustra. Son père était pasteur luthérien et sa mère issue d'une famille de pasteurs. Le père meurt prématurément en 1849. Nietzsche a cinq ans. Il vivra toute son enfance dans un univers exclusivement féminin avec sa mère, sa sœur Élisabeth et ses deux tantes.À 6 ans, il entre à l'école communale et l'année suivante dans un institut privé préparatoire au lycée, lycée où il reste trois ans. Il se destine à être pasteur. En 1859, Nietzsche devient boursier à la célèbre école de Pforta en Thuringe, école célèbre pour sa tradition humaniste et luthérienne. La discipline y est monacale. Les études y sont classiques et insistent sur l'apprentissage de la discipline de soi. Nietzsche lit les auteurs grecs : Sophocle, Eschyle, Platon. La culture grecque et latine l'influencera profondément et il s'y référera sans cesse dans son œuvre, même en la critiquant. Il étudie aussi l'hébreu et l'anglais. Il se passionne pour la littérature allemande et l'histoire mais ne mord guère aux mathématiques. Nietzsche sera marqué toute sa vie par son manque de formation scientifique qu'il regrettera. En 1864, il rentre à l'université de Bonn pour suivre des cours de philologie (latin et grec ancien) et de théologie. En 1865, il entre à l'université de Leipzig où il se consacre à la philologie, seul domaine qui l'intéresse quoiqu'il en sente de plus en plus les limites. C'est là qu'il reçoit sa vocation philosophique à travers la lecture enthousiaste de Schopenhauer. Cette lecture est pour lui un choc. Schopenhauer influencera beaucoup sa pensée avant qu'il ne s'en détache. Il lit Le monde comme volonté et comme représentation. Selon Schopenhauer, la réalité véritable de l'homme, sous les apparences, c'est la volonté (et non plus l'esprit, l'intelligence, la raison), force aveugle qui pousse tous les êtres vers des buts dont ils ne perçoivent pas le sens et qui, une fois atteints, laissent la place à d'autres, indéfiniment ; en d'autres termes, la réalité profonde de tous les phénomènes c'est le désir (instincts, pulsions) dont l'homme est animé inconsciemment. Vivre c'est vouloir, désirer. Mais cette volonté sans but, sans signification, fait de l'homme un jouet inconscient de ce qui le meut. Il faut donc s'efforcer de renoncer au désir, de nier la volonté. Nietzsche gardera l'idée du désir, de la volonté qui fait vivre mais, plus tard, il se détachera de Schopenhauer en affirmant que l'homme doit affirmer ses désirs sans nier la volonté, l'instinct, la vie.Nietzsche lit aussi Lange (un kantien) puis Kant dont il retiendra la critique de la métaphysique dont les prétentions scientifiques lui semblent définitivement dépassées. La théologie lui apparaît aussi comme une illusion grossière. Il ne se détache pas de la philologie mais il veut lui donner une base philosophique. En 1868, Nietzsche reçoit le prix du concours de l'Université pour un travail sur les sources de Diogène Laërce. Il croit pressentir dans la philologie le seul moyen d'accéder à la philosophie c'est-à-dire à l'humain universel. À Leipzig, Nietzsche noue plusieurs amitiés qui vont marquer son existence et notamment celle de Richard Wagner qui lui apparaît comme l'Eschyle des temps modernes, le héraut d'une renaissance de la tragédie.Nietzsche est brillant, très brillant, ce qui lui vaut d'être nommé en 1869, à 25 ans, alors qu'il n'a pas fini sa thèse, sur une simple recommandation de Ritsch (professeur de grec), professeur de philologie classique à l'Université de Bâle. Il occupera cette chaire de langue et de littérature grecques plus de 10 ans. Il rend de nombreuses visites à Wagner et à sa femme Cosima. Il leur lira en 1871 le manuscrit de La naissance de la tragédie. Sa publication en 1872 lui vaudra les réactions hostiles des milieux universitaires mais lui vaut les éloges enthousiastes de Wagner.Engagé volontaire comme ambulancier et infirmier pendant la première guerre franco-allemande, dont les atrocités le bouleversent, il tombe gravement malade de diphtérie et de dysenterie. Vers 1873, il ressent les premières manifestations de maux de tête et de troubles oculaires, dont il ne cessera de souffrir : la maladie va devenir consubstantielle à sa doctrine.De 1873 à 1876, Nietzsche publie les Considérations Intempestives qui soulignent l'intérêt que porte Nietzsche aux problèmes de la culture et de l'histoire, en même temps qu'elles resserrent ses liens avec Wagner. Sa maladie et le développement de sa pensée vont le plonger dans un isolement de plus en plus grand. En 1875, il rencontre le musicien Peter Gast avec lequel il poursuivra l'amitié la plus continue et échangera la correspondante la plus importante. Gast est le seul ami auquel Nietzsche se soit confié de façon parfaitement sincère, même s'il ne se fait aucune illusion sur ses talents de musicien. Mais aucune des amitiés de Nietzsche n'aura été heureuse. Nietzsche publie Humain trop humain. Il a conscience alors d'amorcer un changement décisif avec la critique de Schopenhauer. Toute la métaphysique est ébranlée. Une des conséquences est la rupture avec Wagner. En 1876, Nietzsche assiste aux premières représentations wagnériennes de Bayreuth. Il est déçu par la pompe nationaliste et la résurgence visible des thèmes chrétiens les plus décadents. La rupture avec Wagner et le wagnérisme sera consommée et rendue publique dès le début de 1877.En mai 1878, Nietzsche est si gravement malade qu'il doit quitter son poste de Bâle. Il obtient, à la suite de ses dix années d'enseignement, une maigre pension qui lui évite la misère. Commence alors une existence errante, neuf ans de séjours variés, de voyages continuels, motivés par la recherche du climat le plus favorable à sa santé et à l'éclosion de sa pensée. Aurore (1880-1881) prolonge les analyses de Humain trop humain.C'est pendant l'été 1881, au cours d'une promenade près de Sils Maria " à 6000 pieds au-dessus de l'humanité " que Nietzsche éprouve l'expérience instantanée, atteint la certitude vécue de l'éternel retour. C'est alors que surgit à côté de lui son double, Zarathoustra. Dans Le Gai Savoir (1881-1882) se précisent les intuitions qui constitueront les thèmes centraux de sa philosophie.En 1882, il rencontre Lou Salomé, jeune fille brillante, aux talents intellectuels exceptionnels (elle publiera le premier ouvrage sur Nietzsche et sera plus tard l'amie de Freud et de Rilke). Nietzsche veut en faire sa disciple, la confidente privilégiée de ses pensées. Il s'éprend d'elle mais son projet de mariage échoue de par sa propre maladresse (il charge Paul Rée, alors son rival, d'adresser à Lou sa demande) et à cause de la jalousie de sa sœur qui craint que Nietzsche ne lui échappe.Après cet échec sentimental, l'isolement grandit dans la souffrance et le drame de l'esprit. L'œuvre s'édifie. En 1882, il écrit le premier livre de Ainsi parlait Zarathoustra à Nice, en 1883 le deuxième livre à Sils Maria, en 1884 le livre trois, de 1884 à 1885 le livre quatre (à Zurich, Menton et Nice). L'un des plus grands livres du siècle vient d'être écrit mais ses contemporains ne s'en soucient guère.À partir de 1886, le rythme d'écriture s'accélère : livre V du Gai Savoir et Par delà le bien et le mal, 1887 La généalogie de la Morale, 1888 Le cas Wagner, Le crépuscule des Idoles, Nietzsche contre Wagner, L'Antéchrist et Ecce homo. Cinq œuvres écrites fiévreusement. C'est la dernière année de lucidité de Nietzsche.Le 3 janvier 1889, sur la place Carlo Alberto, à Turin, Nietzsche embrasse un cheval de fiacre qu'un cocher vient de frapper puis tombe sans connaissance. De quelques jours auparavant, datent des lettres et billets de la folie adressés à des amis ou à des inconnus où il signe le plus souvent " Dionysos " ou " Le Crucifié ". Nietzsche a perdu définitivement son identité. Il n'écrira plus et, bientôt plongé dans un mutisme total, il continuera parfois de jouer un peu de musique.Ramené à Bâle par Overbeck il est conduit par sa mère à Iéna où la clinique psychiatrique prononce le diagnostic de paralysie générale. Il habitera désormais auprès de sa mère qui le soignera jusqu'à sa propre mort en 1897, puis à Weimar, auprès de sa sœur dans la maison de laquelle il meurt le 25 août 1900.De l'œuvre restent des fragments inachevés. Les fragments posthumes représentent en fait plus de la moitié de son œuvre. Un certain nombre en seront publié de façon partielle et tronquée par la sœur de Nietzsche sous le titre La Volonté de Puissance. Le problème est, qu'entre temps, celle-ci a adhéré au nazisme et elle cherchera à donner à cette dernière œuvre (par un habile montage des fragments) un sens qu'elle n'a pas. La Volonté de Puissance n'est pas vraiment une œuvre de Nietzsche.
 
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